C’est Aimé Boji Sangara, Secrétaire Général ad intérim du parti cher à Vital KAMERHE, l’Union pour la nation congolaise, qu’il a annoncé après son entretien avec l’informateur Modeste Bahati Lukwebo ce dimanche 24 janvier 2021
“Nous venons d’avoir un bref entretien avec l’informateur, c’était essentiellement pour confirmer notre engagement à l’initiative du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi et aussi confirmé que tous nos députés nationaux, qui sont au nombre de 16 à l’assemblée nationale ont effectivement signé en terme d’engagement, libre d’adhérer à cette vision du Président de la République. Donc ce sont là, les deux points essentiels qui ont été abordés au cours de cet entretien. Comme vous pouvez vous en doutez nous ne pouvons pas aussi manqué de mentionner le cas de notre Président national et lancé un appel à l’informateur de s’impliquer aussi pour que justice soit faite et que notre Président national recouvre sa liberté et continue à servir la République comme il a toujours fait”, Aimé Boji Sangara.
Bahati Lukwebo a rassuré à son hôte de son implication.
“Il nous a rassuré qu’il va personnellement s’impliquer dans cette démarche qui vise à obtenir la libération de notre Président national” confirme le SG a.i. de l’UNC.
Est-ce que la libération de Vital Kamerhe était la condition posée pour l’adhésion de l’UNC à l’union sacrée ?
“Il n’y a pas des conditions, si vous nous avez suivi dès le départ, nous n’avons jamais posé celà comme condition, nous sommes restés constants, nous sommes les partenaires principaux de l’UDPS et du Président à travers l’accord de Nairobi et depuis le début de ce problème de notre Président national, nous avons soutenu, et nous allons continuer à soutenir le Président. Je viens de vous dire que nos députés nationaux ont signé et les documents ont été remis au bureau de l’assemblée nationale”a expliqué Aimé Boji.
L’ancien ministre de commerce extérieur a conclu :
“Nous savons faire la part des choses mais à moins on ne peut pas prétendre que ce n’est pas une difficulté pour nous et nous avons lancé un appel comme nous l’avons fait dès le début à tous ceux qui peuvent aider, aux autorités du pays pour que surtout en ce moment où il y a des préoccupations par rapport à son état de santé pour que ce dossier là soit vidé rapidement pour qu’il puisse retrouver sa liberté”.
✍🏽 Michel KASANGA.