Selon un communiqué parvenu à Pyramidactu.net samedi 30 juillet 2022, le cercle universel des ambassadeurs de la paix/ France Suisse par le Corps Universel des Ambassadeurs, Chevaliers et Officiers de la paix a appelé le gouvernement congolais à assurer la protection des installations et du personnel de la MONUSCO. Et rappel que ces installations sont inviolables.
Ce communiqué de l’administration de la paix mondiale intervient après les manifestations contre cette mission onusienne organisées dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, dans l’est de la République Démocratique du Congo.
Dans ce même communiqué, le porte-parole et secrétaire exécutif du corps universel des Ambassadeurs de la paix en RDC, l’ambassadeur Jeampy Alivision Tshimanga présente les condoléances aux familles éplorées de la RDC, ainsi qu’aux Nations unies,
Le corps rappel que la MONUSCO a aussi joué un rôle essentiel dans la promotion de la paix, la sécurité, la protection des civils et la facilitation de la fourniture de l’aide humanitaire, malgré tout.
A noté également, que les Ambassadeurs Universel de la paix invitent les autorités Rdcongolaise à assurer la protection des sites et du personnel de la MONUSCO et suggèrent aux populations à exprimer leurs mécontentements pacifiquement. Ils condamnent les circuits de ces manifestations qui sont devenues violentes, entraînant la mort « inacceptable et tragique des soldats de la paix, des policiers de l’ONU et des manifestants Congolais ».
« La liberté d’expression, y compris la manifestation pacifique, doit être autorisée, mais pas la violence », peut-on lire dans ce communiqué.
Le Corps Universel des Ambassadeurs, Chevaliers, Officiers de la paix en commençant par son Officier, ses grands Chevaliers, et ses Ambassadeurs Universel en RDCongo soutiennent l’engagement du gouvernement de la RDC à enquêter sur ces événements et à tenir les responsables. et souligne que la violence est contraire aux lois Congolaises et les attaques contre le personnel et les installations des Nations Unies sont contraires au droit international.
Michel Kasanga