Symposium table ronde sur le patrimoine culturel colonial et de partage entre la République démocratique du Congo et le royaume de Belgique de la recherche à la valorisation le mercredi 26 juin à la réputée académie des beaux Arts dans la salle du musée.
Une table d’échanges fructueux entre ku Leuven, l’universite de Kinshasa et l’Académie des beaux arts de Kinshasa.
La question sur le patrimoine reste d’actualité d’autant plus que la RDC, partage une histoire coloniale avec la Belgique. De cette relation ressort un patrimoine à conserver, des objets d’art en passant par les archives.
Il était question ici de voir comment faire avancer cette problématique préparer un cadre, soulevant les aspects juridiques et d’accessibilité aux archives.
Fondé pendant l’époque coloniale il y a beaucoup à se réjouir pour l’Académie des beaux Arts de l’ouverture de cette problématique autour du patrimoine partagé
“Le patrimoine partagé permettra au peuple congolais de connaître son histoire, et aux chercheurs de rendre intelligible les archives dans un sens de construire un avenir meilleur”, a dit le Dg. Henri Kalama
En visite en republique démocratique du congo,le professeur Bart Raymaekers, conseillé rectoral à la culture, aux arts et patrimoine ,ku Leuven ,venu avec une délégation composée des directeurs d’archives et des services patrimoines pour s’enquérir sur place de la situation, collaborer et de faire connaissance.
Le professeur Bart appelle:
-la jeunesse congolaise à chercher à connaître la vraie une histoire de la colonisation.
-aux universités de rassembler les archives accessibles à Kinshasa et en Belgique de manière objective pour permettre l’accès à cette connaissance de l’histoire.
En outre ,il appel les deux pays a un projet commun et surtout concret pour la matérialisation de ce grand souhait entre deux pays.
Notez que dans les jours qui viennent il y aura une formation en master interuniversitaire sur la gestion du patrimoine ,question d’étendre le département de la restauration et conservation d’œuvres d’artdl’ABA ou on sent un fort besoin dans les installations de ces diplômés.
KEREN MASIDI