Le Ministère des Hydrocarbures rappelle que la RDC a signé le Contrat de partage de production (CPP) sur les blocs I et II du Graben Albertine avec les sociétés Caprikat et Foxwhelp en 2010.
Ce CPP a été rendu opérationnel à travers une ordonnance présidentielle. Mais, à ce jour, une société dénommée Albertine Sasu a introduit une requête au Conseil d’État pour évoquer un cas de force majeure par rapport aux blocs précités. Car la cession des parts n’a jamais été réalisée entre Caprikat ou Foxwhelp et Albertine totalement connu du ministère des Hydrocarbures.
Pour une telle cession, il existe bien des préalables clés notamment la tenue de la réunion du Comité d’opérations, la validation ou l’approbation de la cession par le ministre des Hydrocarbures et enfin un avenant. Il apparaît donc clairement que la démarche de la société Albertine est de nul effet.
Le conseil (avocat) de cette entreprise fait fausse route, car nulle part cette ordonnance fait allusion à Oil of DRC ! Une telle réaction aurait eu un sens si c’était celui (avocat) de Albertine (malheureusement inconnu à ce jour) ! Que vient donc faire cette ordonnance dans la réaction de conseil de Oil of DRC ?
La déclaration de l’avocat s’avère biaisée par manque de qualité. En conséquence, l’ordonnance du Conseil d’État n’a rien avoir avec le présent dossier, car concernant Albertine. L’État congolais n’a rien avoir avec cette entreprise, à ses yeux, fictive.
Cellcom Hydrocarbures