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A plusieurs reprises,le numéro un de l’Inspection générale des finances –IGF- n’a cessé de plaider pour la mise en place d’un parquet financier.

Il a indiqué à maintes reprises, que «L’Inspection générale des Finances a réussi à instaurer la peur du gendarme et permis à ce que le Congo soit en mesure de reconquérir sa crédibilité sur la scène internationale,passant de la zone rouge à la zone orange en matière de corruption et
d’incivisme fiscal»,affirmait-il.

Et d’ajouter: Au regard de la faillite de la justice congolaise,son vœu le plus ardent est la mise sur pied d’une juridiction spécialisée dans la poursuite des crimes
économico-financiers.

Si le pays veut avoir du résultat, il faut établir un parquet financier pour avancer rapidement, parce-que les magistrats actuels ne sont pas formés en la matière.

Et il faut, pour ce parquet, des magistrats formés en droit, en économie et finances, a fin d’accompagner le travail de lutte contre la corruption.

Depuis sa nomination, le 30 juin 2019, par l’ordonnance présidentielle, en qualité d’Inspecteur général chef de service, Jules Alingete, a redynamisé cet important service de l’Etat selon le vœu du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.

D’ailleurs, pour lui redonner plus de dynamisme, le président de la République l’a rattaché à son cabinet.

Très rapidement, cet inspecteur des finances n’a pas tardé à prendre ses marques, en imposant un rythme de travail qui n’a pas tardé à faire trembler des
personnes qui ne vivaient que de détournements et corruption.

Ceux qui étaient réputés jadis intouchables ont été pris la main dans le sac, interpellés par la justice, et certains d’entre eux ont été incarcérés à la prison centrale de Makala.

A ce jour, aucun secteur de l’Etat n’a échappé à l’audit des inspecteur des finances.

Au terme de leur travail, les patrouilles financières de l’IGF ont permis de constater l’ampleur du manque à gagner pour le Trésor consécutif à des exonérations douanières et fiscales injustifiables.

Grâce à ces audits, il est constaté depuis quelques mois une augmentation sensible des assignations budgétaires fixées aux
entreprises publiques.

C’est précisément cette détermination de l’IGF Jules Alingete ,d’assainir la gestion
des finances publiques qui lui a valu des prix de mérite ainsi que des trophées par des Organisations internationales , sans compter des invitations à des conférences sur la gestion des comptes publics de l’Etat, pour qu’il parle de son expérience en République démocratique du Congo.

Enfin, le parquet financier est là Ainsi, en dépit de tout ce que l’on peut dire sur les méthodesde travail de l’Inspection générale des finances, Jules Alingete Key aura
marqué d’une empreinte indélébile, le premier mandat du chef de l’Etat Félix
Tshisekedi à la tête de notre pays.

DMK