Le retour de l’aigle sème la terreur, les entrailles frémissent, les intelligences se cristallisent !
Et comme les esprits médiocres condamnent toujours ceux qui dépassent leur portée, les faits et gestes de l’ancien Speaker de l’Assemblée Nationale, l’accueil qu’on savait bien qu’on lui réserverait à l’hémicycle, n’ont pas permis aux détracteurs et haineux d’avoir du répit. Oh, l’aigreur qui tue !.
Mais à quoi vous attendiez-vous ,vous autres? A la mort éternelle de l’aigle de Bulwi? A sa disparition de la scène ? Ah non, son heure n’était pas encore venue. Ne saviez-vous pas qu’il devait renaître de ses cendres? Pourtant, en bon guetteur, le Président Fatshi, comme par une sorte de prophétie, avait prévenu que le Président Vital est un homme sérieux, correct, un homme qui brille par son intelligence eclairée et qui devait,à coup sûr, jouer de nouveau un grand rôle dans Pays.
Congolaises, Congolais, ne pleurons pas et ne nous lamentons pas des coups-bas contre l’allié de Fatshi. Pleurons plutôt la souffrance des malheureux compatriotes qui peinent à croire et à comprendre que hier est passé, demain n’est pas encore là ,aujourd’hui c’est le jour où se joue le destin.
Aucune de ses flèches de méchanceté n’atteindra le fils d’Alphonsine et Constantin. Il avait déjà appris de ses parents que le chemin qui mène à la victoire et à l’espérance est sinueux et parsemé d’embûches. Quand la brutalité se lève comme cela, qu’elle soit ourdie de l’intérieur ou de l’extérieur, Vital KAMERHE s’en remet à son Divin Protecteur de qui, il a tout reçu. Il sait bien que ” l’homme s’agite et Dieu mène l’histoire “( Goethe). Bien plus, nul ne peut dire avec précision la ligne que prendra l’histoire .
Pour ceux qui savent écouter de l’intérieur, celle de la RDC est en train de s’écrire avec une encre de l’espérance, de la détermination à aller de l’avant . Car , Vital Kamerhe , prédicateur intrépide de l’espérance et du pardon pour un “marchons ensemble”, sait bien que la RDC , locomotive de toute l’Afrique Subsaharienne , n’est pas une vallée des larmes, comme nos amis aux cœurs sans paix et sans amour le chantent et le prouvent par leurs actes d’ignominie. Kamerhe et tout le PCR ont pris rendez-vous avec l’espérance.
Dites à ceux que la haine et la jalousie aveuglent et paralysent au point d’induire les autres en erreur, que vociferer contre Kamerhe et scander des slogans nourris de haine ; changer d’une main jalouse son identité, le couvrir d’injures et de mensonge, ne fait que le cimenter dans les cœurs des congolais puisqu’il porte du fruit . Chuchotez donc, je vous en prie, aux infortunés que l’aigle ne fuit et ne craint jamais la tempête mais, bien au contraire. il s’en sert pour voler très haut.
Allons méditer cette belle Maxime du Saint Padre PIO, que je dédie-tout en les félicitant pour leur clairvoyance -à l’honorable Vital KAMERHE, les membres du PCR et au Président Fatshi qui , d’un sourire calme voit s’agiter ceux qui n’ont été avec lui ni à Genève , ni à Nairobi ; ceux qui n’ont bravé aucune intempérie pour sa réélection de 2023 : ” Nul ne parvient au salut sans traverser une mer de tempête, sous la perpétuelle menace d’un naufrage . Le Calvaire est la montagne des Saints . C’est là que l’on accède au Thabor”( Saint Padre Pio).
Enfin, ne jouons pas le jeu de l’ennemi en cherchant à réserver à ceux qui s’égarent et provoquent Kamerhe et les siens, une réponse ou une attitude proportionnelle à leur provocation . Nous serions pires qu’eux puisque nous sommes dotés de l’outil du pardon , le même qu’offrit Kamerhe après son acquittement.
Prions pour leur conversion aux valeurs , à la dignité et au programme du Chef de l’Etat . Ce pardon n’est certes pas une résignation et incapacité à réagir proportionnellement aux coups reçus. Puisqu’il faut compter sur la bonne foi des méchants qui attaquent Vital Kamerhe et le PCR et leur désir aussi de conversion ; en cas de récidive et de mauvaise volonté manifeste , aucune mère ne se taira. Car ,une mère oublie-t-elle son enfant , surtout en temps d’adversités ? Hii ni mambo ya inchi, fungueni macho!
Jean Baptiste KABAZANE